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24 avril 2013 3 24 /04 /avril /2013 08:40
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24 avril 2013 3 24 /04 /avril /2013 08:35

PSA Peugeot Citroën a annoncé, mercredi 24 avril, qu'il lui faudrait prendre de nouvelles mesures d'économies pour atteindre son objectif 2014 de free cash flow en raison de la faiblesse persistante du marché automobile européen.

Le constructeur, qui a engagé une vaste restructuration en France, a réalisé au premier trimestre un chiffre d'affaires de 13,02 milliards d'euros, en recul de 6,5%. Pour la seule division automobile, la baisse atteint 10,3%.

Ce recul est imputable au marasme du marché en Europe, où le groupe a réalisé à 57% de ses ventes au premier trimestre. PSA a prévenu que cette situation perdurerait en 2014 et que le marché pourrait être plus difficile que prévu l'an prochain.

 

RECUL DE 6,5% DU CHIFFRE D'AFFAIRES DE PSA AU 1ER TRIMESTRE

 

Dans ce contexte, le groupe devra prendre de nouvelles mesures pour atteindre son objectif d'un free cash flow à l'équilibre à la fin de l'année prochaine.

Négociations sur la compétitivité

"Les mesures opérationnelles que nous sommes en train d'étudier, c'est tout d'abord le lancement de négociations (...) sur la compétitivité du groupe", a déclaré à des journalistes Jean-Baptiste de Chatillon, le directeur financier. "Nous discuterons avec les partenaires sociaux à partir du deuxième trimestre."

Il a ajouté que l'éventualité de nouvelles réductions d'effectifs ne serait pas évoquée dans le cadre de ces discussions, qui devraient débuter au deuxième trimestre.

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24 avril 2013 3 24 /04 /avril /2013 08:26

L'innovation est l'un des thèmes principaux de cette quinzième édition du salon automobile de Shanghai. A cette occasion de nombreux constructeurs présentent leurs concepts-cars afin de recueillir la réaction du public. Des tests qui préfigurent souvent l'avenir d'une gamme, voire d'une marque. Retour ici en images sur le modèle donnant un avant-goût des futurs véhicules des constructeurs étrangers lancés sur un marché chinois qui suscite tant de convoitises.

 
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Citroën DS Wild Rubis

 

Ce concept de SUV, disposant tout de même d’un mode 4x4, est exposé sur le stand DS du salon de Shanghai. Le "Wild Rubis" est doté de la technologie "Full-hybrid Plug-in", associant un moteur thermique à essence 1.6 THP de 225 ch à un moteur électrique. Ce modèle préfigure le 4x4 qui sera bientôt commercialisé en Chine et peut-être un jour en Europe. Avec sa marque DS, qui se démarque de Citroën à l’étranger, PSA compte ainsi se faire une place sur un marché de l'automobile de luxe en plein boom en Asie et a fortiori en Chine mais pour le moment chasse gardée des marques allemandes.

 

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23 avril 2013 2 23 /04 /avril /2013 13:28
 

Le marché automobile français risque de baisser de 5 % à 10 % cette année, a déclaré le président de PSA Peugeot Citroën, Philippe Varin, à la veille de l’ouverture du Salon de l’automobile de Shanghaï.

Le CCFA (Comité des constructeurs français d’automobiles) s’attend quant à lui à une baisse de 5 % du marché en 2013, à quelque 1,8 million de voitures neuves vendues, niveau qui serait équivalent à celui de 1998.

Concernant l’Europe, pour laquelle PSA avait prévu en début d’année une baisse comprise entre 3 % et 5 %, « vous vous doutez qu’on sera plus dans le bas de la fourchette que dans le haut », a par ailleurs indiqué M. Varin.

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23 avril 2013 2 23 /04 /avril /2013 09:54
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23 avril 2013 2 23 /04 /avril /2013 09:15
Yves Bonnefont, directeur de la stratégie de PSA et tout nouveau directeur de DS, a pour mission de développer la griffe luxe de PSA comme une marque largement dédiée à la Chine.

L’Usine Nouvelle - DS est l’attraction française du Salon de Shanghai. Mais doit-on parler d’une griffe ou d’une marque ?

Yves Bonnefont - En Chine, DS a tous les attributs d’une marque avec un réseau de concession indépendant. Nous avons aujourd’hui 26 points de vente, nous en aurons plus de cinquante en fin d’année. En Europe, DS reste en revanche lié à Citroën.

Vous présentez sur le salon le SUV concept Wild Rubis. Allez-vous proposer tous vos véhicules d’abord en Chine, puis éventuellement en Europe ?

Nous avons lancé cette année la gamme DS sur le marché chinois. Si dès la fin de l’année, la DS5 sera fabriquée en Chine, les DS3 et DS4 continueront d’être importées. Nous allons ensuite proposer une berline de segment C au premier trimestre 2014, puis un SUV issu du concept Wild Rubis au second semestre. Enfin, dans les années qui suivent, une grande berline arrivera sur le marché. La berline de segment C comme le SUV seront d’abord produits dans notre nouvelle usine de Shenzhen et commercialisés en Chine. Ensuite ils pourront avoir des développements mondiaux.

Est-ce que vous allez recruter plus d’ingénieurs en Chine pour assurer la conception de ces nouveaux modèles ?

Le travail de développement restera un travail conjoint entre la France et la Chine. Le style de départ est ainsi réalisé à Paris, les tendances marché et l’adaptation sont ensuite effectuées à Shanghai, comme certaines adaptations techniques. Par exemple, le moteur EP8 est un bloc dérivé de notre gamme EP qui ne sera utilisé qu’en Chine. Notre centre R&D, le ChinaTechCenter basé à Shanghai, va bientôt passer de 800 à 1000 salariés.

La nouvelle usine de Shenzhen débutera cette année la production des modèles DS. Combien de véhicules en sortiront chaque année ?

La capacité de l’usine est de 200 000 véhicules. La production débutera en septembre. C’est l’usine que nous avons construite le plus rapidement dans le groupe, en seulement 18 mois. Nous sommes actuellement dans une phase de montée en cadence, de recrutement aussi. Le site a été conçu aux meilleurs standards du groupe, elle est très compacte.

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22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 08:28

TECHNIQUE – Près de deux ans avant l'application des normes antipollution Euro VI, le groupe PSA Peugeot-Citroën présente sa solution pour diminuer les émissions d'oxydes d'azote de ses moteurs Diesel. La technologie Blue HDi sera généralisée sur toute la gamme dès 2014.

 Image © Citroën 

Même en France, la suprématie du Diesel commence à vaciller. En cause, l'étude de l'OMS qui déclaré en juin 2012 les émissions des moteurs Diesel cancérigènes. En parallèle, les normes de dépollution de plus en plus sévères imposent des systèmes de dépollution de plus en plus coûteux. Exemple sur une Peugeot 208 : en entrée de gamme le Diesel réclame une rallonge financière de 2.600 € par rapport à l'essence de même puissance (68 ch) !

Malgré ce climat tumultueux, les motorisations Diesel représentent toujours la majorité des ventes en Europe. En toute logique, les constructeurs continuent dans cette voie, et à fortiori les spécialistes comme les groupes Volkswagen ou PSA. Ainsi, le constructeur annonce aujourd'hui les futurs systèmes de dépollution, qui permettront de réduire de manière significative les émissions d'oxydes d'azote (NOx). Cause de ce nouveau développement : l'arrivée de la norme de pollution Euro VI qui réduira les émissions maximales autorisées de NOx de 180 mg/km à 80 mg/km.

Cette norme entrera en vigueur en deux temps : dès le 1er septembre 2014 pour ce qui concerne l'homologation de nouveaux modèles et au 1er septembre 2015 pour tous les modèles vendus. PSA prend un peu d'avance en annonçant le montage des premiers dispositifs de dépollution des NOx dès 2013, avant une généralisation à toute la gamme en 2014. Ces modèles porteront l'appellation commerciale Blue HDi.

PSA Blue HDi (2013)
Image © PSA

Classiquement, PSA a choisi un système de réduction catalytique sélective, dont le principe consiste à injecter une solution d'urée dans la ligne d'échappement. Celle-ci est par la suite transformée en ammoniaque, qui se combine avec les NOx à l'échappement pour former de l'eau et du diazote, inoffensif. PSA a choisi cette solution technique plutôt qu'un piège à NOx (adsorption sur du baryum puis élimination par fonctionnement du moteur en mélange riche), gourmand en énergie. Par ailleurs, le catalyseur sélectif PSA, équivalent à celui qu'on peut trouver chez Volkswagen ou Mercedes-Benz par exemple, présente une efficacité meilleure sur une plage de températures plus large. Dès 175° C, 70 % des NOx sont éliminés, proportion qui se stabilise à 90 % entre 250° C et 350° C. A contrario, un piège à NOx perd de son efficacité aux hautes températures (moins de 40 % d'élimination à partir de 350° C), cas qui correspond à un roulage sur autoroute.

Ce système impose, comme c'est déjà le cas sur les poids lourds, de faire le plein de solution d'urée à intervalles réguliers : tous les 20.000 km dans le cas du Blue HDi. Si le réservoir est vide, l'électronique empêche le moteur de démarrer, pour éviter la pollution.

Si le dispositif employé par PSA est connu, sa position sur la ligne d'échappement est plus originale. En effet, le catalyseur sélectif est situé en début de chaîne, juste avant le filtre à particules. Ceci lui permet de fonctionner à haute température pendant plus de 80 % du temps (contre 47 % s'il avait été situé en aval), et donc de manière plus efficace. En contrepartie, le filtre à particules situé en aval reçoit un flux plus froid. Grâce à un additif, les suies peuvent être brûlées à 500° C au lieu des 650° C en temps normal. Sans additif, le filtre à particule situé en aval ne pourrait se régénérer.

PSA Blue HDi (2013)
Image © PSA

Avec ce système de dépollution, PSA croit encore en l'avenir du Diesel, qui gagne encore en consommation. En effet, le post traitement des NOx implique moins de contraintes à la source, lors de la combustion. Dès lors, l'efficacité de celle-ci peut être optimisée. Le constructeur affirme d'ailleurs que les tests de l'OMS ont été réalisés avec des moteurs d'ancienne génération, dépourvus de filtres à particules. Le débat n'est pas plus près de s'éteindre que la carrière des moteurs Diesel.

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22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 08:15

La "sinisation" des modèles de PSA Peugeot Citroën, c'est ici. Au coeur de Shanghaï.  Dans le "China Tech center", structure qui fête ses cinq ans et où tous les nouveaux modèles du constructeur sont "réinterprétés" pour non seulement coller aux goûts du public chinois, mais aussi adapter ces modèles aux règlementations locales et aux usages de conduite locaux...

"En Europe, le klaxon d'une voiture est utilisée en moyenne 10 000 fois. En Chine, c'est 400 000 fois ! Il faut donc faire en sorte que le klaxon dure", raconte Pierre-Frédéric Lebelle, le patron du centre de recherche et développement de PSA en Chine.

Le cas de la 3008 est un bon exemple de cette adaptation. "Sur cette 3008, vous pouvez voir que la calandre, la face avant de la voiture, est beaucoup plus imposante que sur son équivalent européen. Quand on a une voiture en Chine, il faut qu'elle ait de la 'face', qu'elle en impose à son entourage", raconte M. Lebelle.

"De même, poursuit-il, à l'arrière, vous pouvez constater que la custode, le panneau latéral arrière de la carrosserie, est également différente. Nous avons dû mener ce changement, car la 3008 européenne était beaucoup trop inclassable. Il fallait donc la réinterpréter pour que le public chinois se l'approprie."

Et cela semble être le cas. Lancée début 2013 en Chine, la 3008 – un des rares succès actuels de la marque Peugeot en Europe – s'y est déjà écoulée à 10 000 exemplaires et l'usine de Wuhan doit augmenter ses cadences pour répondre à la demande.

 

PREMIERS EFFETS SONT PROMETTEURS

Grâce au "China Tech center", PSA a engagé à marche forcée la "sinisation" de ses modèles. Une étape obligée pour s'imposer, enfin, dans l'Empire du milieu.

Car si PSA s'est installé dans le pays dès les années 1980, il n'a pas su dépasser les 4 % de part de marché, contrairement au groupe Volkswagen, qui vend aujourd'hui 2,6 millions de véhicules, et détient plus de 20 % du marché... L'Allemand a de longue date offert des modèles adaptés.

Alors que les Chinois aiment les grandes voitures avec coffre des segments C et D (65 % du marché), PSA leur a longtemps proposé des petites voitures compactes du segment B (15 % du marché).

 

"C'était loin d'être la meilleure offre", reconnaît aujourd'hui Maxime Picat, le patron de la marque Peugeot et ancien président de la coentreprise de PSA et Dong Feng en Chine. De plus, le groupe français s'obstinait à vendre des modèles d'ancienne génération quand les Chinois sont friands de nouveautés et de moteurs puissants.

Ayant modifié radicalement sa stratégie et augmenté de 10 % ses points de ventes, PSA espère que 2013 sera l'année du changement.

Pour l'instant, les premiers effets sont prometteurs. Au premier trimestre, les ventes du groupe ont décollé de 31 %, pour atteindre 141 000 ventes pour les deux marques confondues. C'est une croissance supérieure à celle du marché, qui grimpe de 20 %.

 

"Nous allons désormais multiplier les lancements de nouveaux modèles. Après la 3008 et la C4 allongée, développée pour le marché chinois, nous allons lancer la nouvelle C-Elysée, puis la 301", indique Grégoire Olivier, membre du directoire de PSA en charge de l'Asie et installée à Shanghai. "Et nous vendrons 557 000 véhicules en 2013 et tiendrons notre objectif de 800 000 ventes en 2015, avec une part de marché de 5 %", claironne-t-il.

 

Alors que le marché chinois devrait croître de 10% cette année, PSA entend donc vendre plus de 120 000 véhicules de plus qu'en 2012 et croître de 26 % en 2013...

"Avec notre nouvelle gamme, c'est tout à fait réalisable, poursuit M. Olivier. Nous avons aujourd'hui 3,92 % de part de marché, avec nos deux usines de Wuhan actuelles qui tournent à plein régime, et notre troisième, toujours à Wuhan, qui entre en production effective en juillet, nous pourrons atteindre ces objectifs."

 

"LA CONCURRENCE EST TOUJOURS TRÈS FORTE"

Les analystes du secteur sont moins optimistes. "A moyen-terme, PSA ne dépassera pas ses 3 % à 4 % de part de marché, car la concurrence notamment des marques allemandes, coréennes et américaines est toujours très forte", juge John Zeng du cabinet LMC Automotive.

 

Selon Namrita Chow, d'IHS Automotive, PSA devrait même plafonner à moins de 3 % de part de marché chinois d'ici à 2015, avec au mieux 700 000 ventes.

Reste que les affaires semblent s'améliorer. "Au premier trimestre nous avons augmenté de 50 % notre chiffre d'affaires, par rapport à la même période de 2012, et notre marge opérationnelle est d'environ 7 %", une marge plus que décente quand PSA a affiché une marge négative en 2012.

 

L'an dernier, le groupe a retiré 100 millions d'euros de dividendes de sa coentreprise. "Et j'espère que ce sera bien plus en 2013", espère M. Olivier.

Afin de maintenir un tel résultat financier, alors que la concurrence s'intensifie, le groupe va lancer avec son partenaire Dong Feng un vaste plan de réduction des coûts. Cela passera notamment par le développement de nouveaux véhicules sur l'une des plateformes techniques, le sous-bassement de la voiture, abandonnée par PSA en Europe.

"Nous allons reprendre cette plateforme déjà amortie, la simplifier et l'utiliser avec des modules uniquement fournis par des équipementiers chinois pour produire des véhicules pour notre partenaire Dong Feng", indique M. Olivier.

 

Si cette première coentreprise tient ses promesses selon PSA, celle avec Changan, pour le développement de la marque premium DS, ne devrait pas tenir ses objectifs.

"Nous nous étions engagé à prendre 3 % du marché avec DS, ainsi qu'une autre marque locale développée avec notre partenaire. Mais celle-ci a été pour l'instant abandonnée et remplacée par la production de petits véhicules électriques, qui n'assureront pas les mêmes volumes. Dans ces conditions, nous allons nous concentrer sur l'installation de la marque DS en Chine. Nous souhaitons vendre 200 000 DS à moyen-terme, soit la capacité de production de notre nouvelle usine à Shenzhen", conclut M. Olivier. 

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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 10:39
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18 avril 2013 4 18 /04 /avril /2013 15:20

Que deviennent les compteurs d'un salarié si celui ci décède ?

 

Une question que l'on ne se pose pas forcément

 

Le SIA répond a cette question

 

Le solde de tout compte de la personne décédée intègre les compteurs RTT.

Cette somme est bloquée en attendant de connaître les ayants droits à la succession.

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